Les enfants les plus “poqués” de la DPJ
Raymond Viger Dossier Journal de Montréal
Le 8 décembre, Jean-Philippe Pineault signe dans le Journal de Montréal un article sur les enfants de la DPJ. Pour réaliser ce reportage, pendant une semaine, un journaliste du Journal de Montréal prend le rôle d’un intervenant.
Je suis obligé de me questionner sur l’impact d’un tel reportage sur des jeunes de 6 à 12 ans. Le Centre jeunesse où le reportage est réalisé est nommé. Je ne le renommerai pas ici pour éviter d’en rajouter. On y parle du vécu de ces jeunes, de leur comportement… En lisant le reportage, ils vont se reconnaître. On présente les jeunes comme étant les plus “poqués” de la DPJ. En lisant le reportage, ces jeunes vont se reconnaître.
Ces jeunes ont déjà assez souffert. Est-ce utile de les traiter de: jeunes les plus “poqués”? Je suis convaincu que les lecteurs du Journal de Montréal sont assez intelligents pour comprendre la situation sans qu’on mette une étiquette sur ces jeunes.
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Je ne sait pas qui sont les jeunes les plus «poqués», mais je sais une chose, avec notre constat sur le terrain les jeunes de la DPJ «poqués» se font légions!
PapaThème, alias pour la protection des Enfants.
Si j’écris « Les Enfants martyrs de la DPJ », et que j’ajoute que nous obtenons gains de causes devant toutes les Cours jusqu’à ce jour en faveur des Enfants martyrs de la DPJ, je trouve bien dommage l’étiquette, mais il y à une limite à se cacher la tête dans le sable. C’est la triste vérite, et ce n’est surtout pas moi ou Jean-Philippe Pineault les responsables des étiquettes, mais la DPJ et sa bande de terroristes. Je pèse mes mots.
Je suis français, victime de 2 signalements inconsistants « reformulés » par la DPJ. Résultat, j’ai dû quitter Québec et laisser mon épouse québécoise et mes deux filles de 2 et 3 ans après 3 semaines d’isolement de ces dernières.
On a proposé un deale à mon épouse, paraphrasé comme suit : « vous rompez avec votre mari ou nous gardons les enfants ». Etant mariés, ce genre de manipulation mental n’a pas réellement brisé notre foyer, mais j’ai préféré rentrer en France car la DPJ avait convaincu ma femme de ne pas reprendre contact avec moi tant que j’étais encore à
Québec.
C’est seulement après mon retour en France que ma femme m’a expliqué ces manipulations et nous nous somme rendu compte que les DPJistes nous avait menti sur leur réel pouvoir de placement dans notre cas.
A noter que mon épouse développait des idées féministes lors de nos contacts téléphonique de façon assez confuse, et avait du mal à m’expliquer leur rapprochement avec notre vie de famille.
J’en ai conclu que le véritable pouvoir de la DPJ est de rependre la misère sociale en dissolvant l’unité des couples et des familles en générale, affin de renforcer la puissance des lobistes féministes, à Québec notamment.
Les hommes étant éjectés de leur rôle de père, le chef de famille traditionnel est remplacé par la mère ou la sacro-sainte intervenante du CLSC si la mère n’est pas assez « soumise » aux agents de la DPJ.
PS: le premier signalement portait sur une chute de ma deuxième fille pendant que j’étais au travail. La petite était avec sa mère à la maison. J’ai réprimandé ma femme devant l’équipe des urgences de l’hôpital, résultat: signalement pour violence psychologique à l’endroit de la mère et c’est moi qui a tout pris dans la gueule…excusez l’éloquence.
Deuxième signalement, 6 moi plus tard : mon chiropraticien me signale à la DPJ après avoir entendu un bruit suspect, comme une chaise lancée contre un mur, bruit que j’ai moi-même entendu.
Ce bruit coïncide avec les pleures de ma fille aîné, car je lui avait donné une tape pour la calmer (elle cassait du matériel dans le box des soins).
Le signalement sera une interprétation de ces bruits, et mes filles ainsi que ma femme aurons, le lendemain, été enlevé par la DPJ, pendant que j’étais au travail.
Mes filles ne m’ont pas vu depuis plusieurs mois et mon entreprise est ruiné…..
Alors , question : que cache la DPJ ? Des abuseurs, chef de service ?…..et leurs petites filles, agents de terrain.. ?….qui payent leurs hypothèques grâce au boulot que papa leur à trouvé dans
« la maison » ?
Ne pas dénoncer un père abuseur est illégale, abuser un enfant l’est encore plus, et fournir le « bourreau de ste foi » comme bouc émissaire au peuple québécois est un aveux….
Si j’ai mal compris faites moi signe…
Bonjour Anonimpretaparler.
Merci pour votre commentaire et votre présence. En espérant que votre témoignage relance le débat.
http://fr.wikipedia.org/wiki/DPJ
A voir dans la rubrique « Liens et documents externes ».
Bonjour Anonimpretaparler.
Est-ce vous qui avez placé le lien dans wikipedia?
oui
Je vous remercie Anonimpretaparler pour cette délicate attention.
Raymond.
Faites le moi savoir, si je suis trop entreprenant…
Daniel
Bonjour Daniel.
Aucunement. C’est un honneur que vous nous avez fait d’avoir fait un lien dans Wikipédia. Le soutien des internautes pour faire connaître nos blogues sont toujours appréciés. Cela permet d’étendre la réflexion à plus de gens.
Merci encore.
Raymond.
@ Anonimpretaparler
Votre témoignage est très révélateur de la mentalité qui règne au sein des intervenants à la solde de la DPJ, cette secte de voleurs d’enfance. J’ai également eu à goûter à leur médecine de cheval, ayant été privé de tout contact avec mes 2 enfants depuis plus de 4 ans. Le seul reproche que ces gens avaient à formuler à mon égard était mon implication au sein du mouvement Fathers-4-Justice à titre de porte-parole. Cette histoire, intitulée l’« Affaire Camille » est également présente sur la page Wiki dans les Liens et documents externes à titre de Post-Sriptum.
Seriez-vous l’auteur de cette écriture ?
Bonjour Bisbille.
Merci pour votre présence. Vous êtes autorisé à afficher les liens vers les textes dont vous parlez.
Raymond Viger
http://www.cafegraffiti.net
http://www.refletdesociete.com
L’Affaire Camille
http://www.fathers-4-justice.ca/fr/mtl/affaireCamille.html
La fausse déclaration attribuée à Camille
http://bisbille101.blogspot.com/2007/08/blog-post.html
et sur cette dernière page, 3 liens vers des articles à ce sujet publiés sur la Tribune de Genève
Hermil, un père entré en clandestinité
http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/05/23/hermil-un-pere-entre-en-clandestinite.html
Affaire Hermil LeBel : une policière fabrique un mensonge
http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/05/23/affaire-hermil-lebel-une-policiere-fabrique-un-mensonge.html
Québec : la guerre faite aux hommes
http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/05/23/quebec-la-guerre-faite-aux-hommes.html
Les journalistes du Québec refusent de toucher à cette affaire qui témoigne de la collusion généralisée au sein de l’appareil judiciaire.
Plusieurs se souviendront des manifestations organisées par les militants de Fathers-4-Justice qui, du haut du pont Jacques-Cartier, réclamaient la mise sur pied d’une Commission Royale d’enquête sur l’administration de la justice au Québec. Seule une telle enquête permettrait de faire la lumière au sujet de la collusion existante au sein des structures administratives de l’État qui facilite l’apparition d’une corruption comme celle qui nous fut révélée lors de la dernière campagne électorale à la mairie de Montréal.
Toute cette histoire de corruption impliquant à la fois le législatif et l’exécutif ne saurait se matérialiser sans le nécessaire aval du judiciaire. À titre d’exemple, se souvenir du juge Claude Leblond de la cour du Québec, celui-là même qui a présidé au procès pénal de Vincent Lacroix, ce fraudeur notoire. Or, il appert que le juge Leblond, lui-même originaire de Sherbrooke, gravite parmi les intimes de John James Charest, à tel point que c’est le PM lui-même qui lui a communiqué sur un simple coup de téléphone la nouvelle de sa nomination à la magistrature comme le révélait en janvier 2005 la Tribune de Sherbrooke.
Bonne lecture !
Merci pour les liens et pour les informations. Cela donne de la matière à réflexion et à débat.
Raymond Viger
http://www.refletdesociete.com
http://www.cafegraffiti.net